Page:Sicard - Le Laurier Noir, 1917.djvu/113

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STANCES À PARIS


Ô Paris, j’ai suivi, dans tes nuits sans lumière,
          Tes quais mystérieux,
Comme dans la douleur de ton visage austère
          Tu m’apparaissais mieux !

Dépouillé du plaisir qui couronnait tes rives,
          J’étais entre tes bras
Pareil à cet enfant qu’une mère attentive
          Toujours protègera.