Page:Sienkiewicz – Hania, traduction Chirol.djvu/148

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VII


On peut concevoir aisément la nuit que je passai après les agitations de toute cette journée. Étendu sur mon lit, je me demandai ce qui s’était passé et pourquoi j’avais agi ainsi ? La réponse était facile : de tout ce qui était arrivé, de la part de Sélim ou de celle de Hania, je ne pouvais rien leur reprocher qui ne s’expliquât soit par une simple politesse, soit par la curiosité, ou bien encore par une sympathie mutuelle.

Que Sélim plût à Hania, et réciproquement, c’était l’évidence même ; mais quel