Page:Sienkiewicz – Hania, traduction Chirol.djvu/172

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VIII


Quelques jours après, je fus réveillé par les premiers rayons de l’aurore pénétrant dans ma chambre par l’ouverture en forme de cœur des volets ; quelqu’un frappa du dehors, et à la fenêtre parurent, non pas le visage de la Zosia de Mickiéwicz qui venait réveiller ainsi Tadéouche, non pas la figure de Hania, mais les moustaches du garde forestier Vakh.

— Seigneur ! dit-il d’une voix sourde.

— Que veux-tu ?

— Les loups poursuivent la louve dans les