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Page:Signoret - Le Livre de l’amitié, 1891.djvu/30

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II

Ô Mirzaël, c’est là que vint éclore
La fleur d’amour que Dieu daigne bénir,
Le tabernacle éblouissant la dore
Des rayons purs d’une céleste aurore
Et son parfum est fait de souvenir !