Aller au contenu

Page:Signoret - Le Livre de l’amitié, 1891.djvu/58

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

Et hochant leurs queues, les vives mésanges, et les cailles pondérées et rhythmiques et les chardonnerets dorés, évoquent les Ferveurs, les Ferveurs d’ange et les Ambitions, pondérées vers les horizons dorés ; et c’est un charme.