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LE CORMORAN
I
’était dans l’atelier d’un des plus
beaux peintres de ce temps-ci, —
si je vous disais : du plus beau, nous
cesserions immédiatement d’être d’accord. —
On racontait des bêtises après boire en fumant
des cigarettes, ce qui m’a toujours paru la
meilleure occupation du temps qui soit au
monde ; des bêtises sur l’Amour, bien entendu,
car ce sera toujours lui qui fera faire les plus
grosses, tant que le mensonge du sourire
courra sur les lèvres de pourpre des femmes,