Page:Silvestre - Histoires belles et honnestes, 1883.djvu/167

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Au-dessous on lisait, d’une autre écriture, les lignes suivantes :

« Adieu, le meilleur des amis ! Maintenant que tu sais, je n’ose pas te dire que je t’embrasse, mais le cœur y est. Pourquoi as-tu été si jobard ! Si, au début, tu t’étais aperçu de quelque chose, tu m’aurais mis à la porte et tu n’aurais pas causé la mort de deux personnes incapables d’infamie. Enfin ! je ne veux pas te faire de reproche. Ta femme et moi, nous te pardonnons en quittant cette terre.

» Celui qui regrette franchement de t’avoir connu, » PAPOUL. »


II

Lorsqu’au retour de son bureau, sur le coup de cinq heures du soir, M. Bergace Papillon trouva ce double écrit sur la table où il espérait voir le couvert à moitié mis comme de coutume, il faillit tomber à la renverse. Après l’avoir lu