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Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/51

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Sur l’aile des papillons blancs
Que le frisson du jour déploie
Elle irait, aux feuillages lents,
Des brises apporter la joie.

Et, fidèle à l’appel vainqueur
Qui sonne à l’Orient de cuivre,
Elle se perdrait dans le chœur
De tout ce que l’aube délivre !