Aller au contenu

Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/53

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Ils volent à tes pieds, astres chassés des nues,
Exilés du ciel d’or où fleurit ta beauté
Et, cherchant jusqu’à toi des routes inconnues,
Mêlent au jour naissant leur mourante clarté.