Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
V
L’aurore frange de carmin
La robe grise de la nue
Et brode, en passant, l’avenue
D’un double feston de jasmin
Une aiguille d’or à la main,
Comme une fée elle est venue
Mettre leur parure connue
Au ciel d’azur, au vert chemin.