Page:Silvestre - Les Renaissances, 1870.djvu/46

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De ruines couverte et de mondes flottants,
La mer de l’Infini gronde aux rives du Temps.
— L’espérance au tombeau descend inassouvie ;

Et la Mort nous étreint entre ses bras jaloux,
Sans briser Cette foi que nous portons en nous,
D’une force d’aimer qui survit à la vie !