Hélas ! que ferai-je, malheureux ? Tu serais vu au milieu des Argiens, orné de mes armes !
Ne me réponds rien de plus. Je pars.
Ô fils d’Akhilleus, n’entendrai-je donc plus ta voix ? T’en iras-tu ainsi en silence ?
Va, toi ! ne le regarde pas, bien que tu sois généreux, de peur que tu ne troubles notre heureuse fortune.
Et vous aussi, Étrangers, m’abandonnerez-vous seul ici ? N’aurez-vous point pitié de moi ?
Ce jeune homme commande sur notre nef : quelque chose qu’il te dise, nous te le disons.
Dussé-je être accusé d’avoir trop pitié de celui-ci, restez cependant, si tel est son désir, jusqu’à ce qu’on ait remis dans la nef ce qu’on en avait ôté, et que nous ayons prié les Dieux. Peut-être, pendant ce temps, changera-t-il, en mieux, de sentiment pour nous. Vous, dès que nous vous appellerons, venez promptement.