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Page:Sorel - Le Berger extravagant, 1628.djvu/7

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plus forte que la particuliere, je me raporte au peuple de la condamnation des coulpables, et je les laisserois en paix, n’estoit qu’ils voudroient faire aprendre leurs escrits par cœur à chacun s’il estoit possible, et qu’ils abusent le public, luy faisant don de leurs sottises, par la mesme voye que l’on communique les bonnes choses. Autrefois il n’y avoit personne qui prist la hardiesse de mettre un livre en lumiere, s’il n’estoit remply d’une doctrine necessaire, et s’il ne pouvoit servir à la conduite de la vie : mais aujourd’huy le recours des