Page:Sorel - Le Berger extravagant, seconde partie, 1627.djvu/7

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Lysis s’estant esveillé des le point du jour, se mit aussi tost à considerer la lumiere du soleil, qui passant entre les ais de la fenestre de sa chambre, venoit jusques sur luy. Que tu es heureux ! ô bel astre luy dit-il ; non pas pource que tu reigles les saisons,