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Page:Sorel - Le Berger extravagant, troisième partie, 1628.djvu/138

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ce poëte ayt parlé de tant de differentes divinitez, comme s’il luy eust esté possible de parler d’autre chose en un temps où il avoit esté nourry parmy l’idolatrie. Pource qui est de ses transformations, elles ne sont pas si extravagantes qu’il a tasché de les faire : mais il les faudroit reciter toutes pour le monstrer ; il ne parle quant à luy que de l’opinion que Pythagore avoit de la metempsycose.