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ment sans encourir de honte ni de reproche.
Quant au Samana qui déshonore l’habit qu’il porte et la Confrérie à laquelle il appartient, en manquant gravement à ses vœux, il encourt la peine la plus sévère que connaisse la Règle. Il est rejeté de la Confrérie.
168. Est-il permis aux Frères de choisir leur séjour à leur gré ?
Non ; ils doivent entrer dans des couvents (Vihâras) ou vivre en solitaires dans les forêts[1].
169. Quels sont les rapports qui unissent la Confrérie aux adhérents laïques (Oupâsakas) ?
Ces rapports sont purement moraux et ne reposent sur aucune obligation extérieure. La Confrérie doit être, pour les adhérents laïques, un exemple vivant de continence, de renoncement et de sain-
- ↑ Les membres féminins de la Confrérie (Bhikshouni) habitent naturellement des couvents séparés. La vie solitaire ne leur est pas permise et elles sont toujours soumises à la surveillance des supérieurs de la Confrérie.