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Page:Soulages – L’Idylle Vénitienne, 1913.djvu/19

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en cercle, tresse des couronnes blanches… Chargées de fleurs, des barques matinales glissent sur la mer prisonnière…


Que c’est enivrant de vivre, et d’être jeune, et d’être jolie, et d’avoir, soudain, — parce que la brise qui frôle ta nuque est la même qu’ont respirée George Sand, Bianca Capello et la pauvre Desdemona, — comme un peu de liqueur dans l’âme !


La dernière arche… La stazione… Plus qu’un instant ! Prends, dans ton sac d’or, la tablette d’ivoire sur laquelle,