Page:Soulages – L’Idylle Vénitienne, 1913.djvu/23

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Cinq minutes… Dix minutes… Un quart d’heure…

Enfin, elle s’est levée. Elle a sonné. Le barman est venu.

— Combien vous dois-je ? lui a-t-elle demandé, à voix très haute, en français, presque sans accent.

Et ses yeux, soudain, ont cherché mes yeux. Elle a souri.

Puis, très vite, elle s’en est allée.