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Page:Soury - Le système nerveux central, 1899.djvu/1862

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1846

TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES

Souvenir ancestral de la mémoire organique rappelant li communauté d’origine des neurones des ganglions spinaux avec ceux du rosle du syslëme nerveux central, 1 684-85. — Mode de : division des racines postérieures dans ln moelle épinière des Reptiles : les collatérales réflexes proviennent non du faisceau inlerno (Oiseaux, Mammifères), mais du faisceau externe. Constitution des différents cordons de la moelle épinière. Cellules endogènes des cordons poslérieurs. Part des fibres endo el exogènes dans la composilion des cordons poslérieurs des Reptiles el des Oiscaux. Mammifères, 1686. — Marche des cônes de croissance dans la moclle épinière des embryons d’Ophidiens ; libres terminaisons des prolongements nerveux, 1685. — Voies longues cl voies courles du nÉvraxe, 1687-88. — La Lhéoric des neurones cl la physiologie du système nerveux central. Inlerprétalion de la structure el du mécanisme de la moelle épinière : fonctions des collalérales, 1688-yo.

Struclure réliculéc du réseau achromalique constiluant le proloplasma cellulaire. Dépôt de Ja subslance chromalique sur les points nodaux cl les Lrabécules du réseau : le bloc chromatique résulle de l’extension de l’incrustalion de ces parties des mailles polygonales du réliculum, charpente de ces masses d’uspoct souvent vacuolairc. La parie achromatique du proloplasma sert à la transmission des courants ; la parlic chromalique, accumulée dans le corps cellulaire à l’élal de repos, deslinée à êlre utilisée dans l’état d’activité du neurone. Accord de celle conceplion avec la doctrine de Rastox » Casaz el de FLemauxe, 1690-gt ; 1695. — Gontre l’hypothèse de granulalions chromaliques unies par une subslance amorphe formant les blocs chromaliques (Nissz, Becker, Lixnossek. Lucano). Mème structure réliculée du proloplasma des cellules des ganglions spinaux et des neurones motcurs (cellules somalochromes), 1692. — Slruclure du cène d’origine de l’axone dans les diverses espèces de cellules nerveuses, 1693 ; 1695. — Diversilé de types cellulaires, de valeur physiologique diflérente. des cellules conslituant les ganglions spinaux, 1694. — Noyau et nucléole. Le réseau karvoplasmalique est acidophile, le nucléole basophile, 1695. — Modificalions provoquées dans les cellules d’origine du nerf hypoglosse par la seclion des cylindraxes, Dissolution de la substance chromalique, Llurgescence du cyloplasma, cclopie du noyau. Les phénomènes de chromalolyse. Phase de réaction à distance (Nisss, Marixesco) ou dissolulion des éléments chromaliques. Phase de réparation (Maumwesco) ou reformalion de ces éléments ; élal pyknomorphe, 1695-93 : 1703. — Doctrine de vax Genveurex : pas de dégénérescence du neurone (Nissr., Manixesco). Intégrilé conservée du réseau proloplasmique. Régénéralion du nerf seclionné (Vaxrain). Réaclion des cellules des ganglions spinaux à la seclion ou ligaturo du prolongement périphérique ; différence entre la réaclion d’une cellule molrice cel d’une cellule sensilive : au licu d’entrer dans la phase de réparation, celle-ci verse dans la dégénérescence, 1697-99. — Réactions des cellules des ganglions spinaux à la section de la branche périphérique et de la Dranche ceutrale. Lucano. Action trophique des excilalions centrales ct périphériques du neurone. Gozpscueiben ct Manixesco. Causes de la régénéralion du neurone moleur et de la dégénéralion du neurone sensilif des ganglions spinaux. Action lrophique exercée par le protoncurone sensilif sur le deuxième, etc., neurone, 1300-3. — Types de chromatolyse : périphérique, périnucléaire, diflus. Chromalolyse des neurones moteurs de la moelle à la suite de l’interruplion des Ébres corlico-spinales comparée à celle des cellules dorsales du pneumogastrique après la seclion du nerf périphérique, 1704-5. — Recherches sur l’origine des nerfs crâniens fondées sur la réaclion cellulaire qui suil la section expérimentale du cylindraxe d’un neurone molcur. Van Genvcnrex. Vax Bieënviier, 1506. — Terriloire des cellules d’origine du facial supérieur dans le noyau de la Vile paire déterminé par G. Mauxesco. Participalion du facial supérieur à l’hémiplégie de cause centrale. Doctrines anciennes. Tovv, Eicuuousr, Cuancot, 1706-79. — Observalions cliniques élablissant que le frontal, l’orbiculaire des paupières el le sourcilier ne reslenl pas indemnes dans l’hémiplégie cérébrale. Gnasser, Env, BnissauD, cle. Pucriese el Mia. Recherches sur la dissocialion unilatérale des mouvements synergiques des mouvements des yeux. Centres spéciaux d’innervalion des mouvements asynergiques acquis on néoformés. Le symplôme de Révision. Travail de dissocialion des contractions volontaires des muscles des moiliés gauche et droile de la face réalisé chez Sikonskt, 1708-9. — (Gentres d’innervalion du facial sur l’aire molrice du cerveau. Physiologie expérimentale. Hirzic. Fenninn. Luciaxi el Tassunixi. Expériences directes sur l’Homme cl observalions analomo-cliniques sur le centre des mouvements volontaires du facial supérieur (Liers inféricur de y contigu au pied de F,). 1509-11 ; 1717. — Bilatéralilé fonctionnelle du centre corlical de la branche supérieure du facial. Trajet de l’écorce cérébrale aux noyaux prolubéranticls. Capsule inlerne : les faisceuux du facial inférieur passent dans lc genou de la capsule inlerne el ceux du facial supérieur dans la portion antérieure du genou. Paralysie isoléc, duns les hémiplégies capsulaires, des membres supérieurs et inférieurs avec intégrité des muscles de la face. Le contraire dans les hémiplégies corlicales par thrombose ou embolic de l’artère sylvienne, 1713-13. — Noyau des cellules radiculuires de la Vile paire. Genou du facial. Le faisceau radiculaire du facial ne reçoil point de fibres du noyau de la V{e paire. Doctrine erronée d’où procède la dénominalion de noyau supérieur du facial ou noyau commun du facial el de l’oculomoleur exlerne donnéc à l’abducens (M. Duvar, Tesrur). Le noyau du facial supérieur fait partie inlégranle du noyau commun du facial, 1714. Expériences de Guonex, de Mexbe. van GEUVGNTEX. R. Y Gasas. Démonstralion analomo-pathologique de J. Diaenixe, 1715. — Les lrois régions d’origine du facial déterminées par Mautxesco dans le noyau de la VIle paire. Entrecroïisement partiel des fibres radiculaires du facial. Types cellulaires des groupes de neurones constituant le noyau du facial ; réaction du groupe moyen à la section du fncial supérieur, 1716. — Aclivilé fonctionnelle surtoul unilalérale des centres corticaux de la brancho inférieure du facial ; aclivilé bilatérale des