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Page:Soury - Le système nerveux central, 1899.djvu/1863

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ÉPOQUE CONTEMPORAINE

1847

muscles frontaux ; contraclion d’ordinaire unilatéralo des muscles orbiculaires, 151. — Diversité de résistance réaclionnello à la section du cylindraxe des cellules d’un même noyau moteur et des cellules motricos des ganglions cérébraux ct spinaux, Vax Genucuten, 1718. — Pathologie cellulaire du tabes. Ilypothèse de Scuarren, elc., pour expliquer l’absenco de chromatolyse des cellules des ganglions spinaux choz los labétiques, 1719-20.

IV. Michael von Lenhossek. — Nalure ct mode de propagalion du courant nerveux dans la théorie du contact qui a succédé à cello du réseau nerveux dillus de Gensacn et de Goi.cr. Critique, présentée par Lennossex, des conséquences qu’aurait à subir la théorie des neurones des nouvelles méthodes de coloration d’Araruy et de Berne. Fails ct opinions. Méme chez les Arthropodes Bkrur : n’a pu se convaincre de l’existence du réseau fibrillaire théoriquement admis par Niss.. Les « grands mots » de Nissi., 1721-23. — L. Faits anatomiques. Accord des observations hislologiques de Berux avec celles de Lexuossek et de Rerzivs, 1723. — Conceplion du neuropile de His, complexus de fibrilles à terminaisons libres (feutrage), comme d’un réseau central élémentaire. Aucun rapport direct démontré par Berar entre fibrilles provenant de neurones différents. Présomption de l’existence, chez Hirudo, du réseau d’AratTay. La « théorie » des neurones vérifiée aussi bien par les images au bleu de méthylène qu’avec les préparations au Gouci. Les observalions d’anastomoses d’abord tenues pour erronées par Berue, 1724-25. — 11. faits physiologiques. Exposé et critique des expériences de Berne chez les Crustacés (cercinus maenas). Expériences de M. Veworx. Doctrine de Naxsex sur les fonctions purement trophiques du corps cellulaire, 1525-29. — Légitimité do la théorie actuelle des neurones, Raisons invoquées par Lenuossex, 1729. — Mécanisme des processus psychologiques (conservalion des souvenirs, évocalion des images, etc.) selon BrTur et selon Lrnuossek. Toul événement psychique résulterait du jeu des stémuli extérieurs dans les réseaux fibrillaires de l’écorce cérébrale. Modifications permanontes du substralum cellulaire délerminant les réactions particulières de chaque cerveau. Comparaison de Lexuossek, renouvelée de Descartes cl de CHarcor, du mécanisme des opérations mentales et de celui qui fait mouvoir les touches d’un clavier d’orgue. 1780-31. — Interprétation, donnée par Gasar., de l’erreur des partisans de l’exislence d’un réseau fibrillaire intersliticl. Les préparations de BrTur ne démontrent point, selon Enixczn. l’existence, chez les Verlébrés, d’un réseau élémentaire intercellulaire. L’unilé du neurone, unité biologique, demeure dehoul. Unité de plan du système nerveux central des Invertébrés el des Verlébrés. Les axodendrites des cellules unipolaires des ganglions centraux des Invertébrés, 1731-33. — I. Histalogie du neurone. Définition de la cellule nerveuse, comprenant les cellules neuroépithéliales des organes périphériques des sens, quoique dépourvues de cylindraxes et de dendrites. Constilution de toutes les autres unités nerveuses : neurocyle, neuraxonc (monaxone, diaxone, polyaxone). L’axonc el ses paraxones ou collatérales. Mode de lerminaison de l’axone. Dendrites ; ils forment un tout avec le corps cellulaire : l’axone, produit de la cellule, en est plus indépendant, 1533-35. — Mode de nutrition du neuroblaste et de la cellule adulle. Importance trophique des dendriles, centuplant au moins l’élenduc des cellules des cornes antérieures, de Puuxinsr, cie. Point de rapport entre les dendrites et les vaisseaux sanguins. La lymphe d’où les cellules et leurs prolongements Lirent leurs malières nutrilives, 1335-36. — Mode de nutrilion de la fibre nerveuse ; les nerfs périphériques tirent leur nutrition des milieux qu’ils traversent ; influence trophique de la cellule sur J’axone. Dégénéralion wallérienne. Le noyau, facteur trophique de la cellule. Expériences de mérolomie, 17336. — Mécanisme de l’influence trophique du corps cellulaire sur ses prolongements. Crilique de l’hypothèse de Manrxesco-Gornscneinen. Non l’abolition de la fonclion nerveuse du neurone, mais l’effet de la solulion de continuilé de l’axone avec son organc terminal (muscle, peau), détermine sa mort. Explications diflérenles pour la dégénéralion des cellules des ganglions «pinaux et celle des neurones moteurs radiculaires conséculive à la section du prolongement périphérique, 1333-38. — Structure des cellules des ganglions spinaux de l’Homme. Les blocs tégroïdes, 1538. — Siruclure de la substance fondamentale du protoplasma cellulaire. Acquiescement de Lexuossek à la théoric fibrillaire de W. Fremmixe. Examen de préparations d’animaux empoisonnés par l’arsenic : chromalolyse périphérique luissanl apparaitre nellement uno structure fibrillaire, 1539 — FLeumixe el les théories fibrillaire el réticulaire du cytoplasma et du karyoplasma. Ilistorique, 1540-41. — Propriétés physico-chimiques du proloplasma. Cytologie actuelle de Fiemsinc. Parties vivantes de la cellule. ho LR. — Coloration de Becker. La partie achroma-Lique du protoplasma cellulaire continuité directe des fibrilles des prolongements cylindraxiles et protoplasmiques. Nissi. Dore. et la disposilion des fibrilles du cône d’origine à travers le corps cellulaire, Opinions des auteurs sur la présence ou l’absence de granulations chromatiques dans le cône d’origine. Structure fibrillaire du cône et do l’axone, 1543-44. Provenance el struclure granuleuse des blocs chromatiques. De Quenvaix. Lexnossek. FLeusuxc. Ier. Les Niski-K6rper malières dissoutes par le procédé de fixation. Cylologie de Hern, 1745-48. — Le volume ct la structure du noyau, du nucléole et des cellules des ganglions spinaux sonl en rapport avec l’importance fonctionnelle des parties du corps auxquelles appartiennent les nerfs périphériques correspondants, 1748. — 11. Phystologie du neurone. Toute action fonclionnelle d’un neurone n’est qu’une réaction au milieu externe. La cellule olfactive, exemple unique de réception directe des stimuli externes. Direction du courant des monaxones, toujours cellulifuge, 1348-50. — Do mème pour les diaxones. au moins chez les vertébrés. Cellules de Lexnossex et terminaisons libres de Sminxow, 1751. — Les collatérales. l’onctions réceptrices des fibrilles latérales de l’axone, ou ramuscules émis par ce prolongement encore amyélinique au sortir de la cellule ; conduction cellulipète comme celle des dendrites. Ces axodendrites com-