Les Anglais avaient autrefois perfectionné les animaux domestiques, dans le sens de leur destination ; nous avons appliqué ce système à la race humaine, en la perfectionnant. Des croisements bien entendus nous ont produit une race de forgerons dont toute la force s’est concentrée dans les bras ; une race de porteurs qui n’ont de développés que leurs reins ; une race de coureurs, auxquels les jambes seules ont grandi ; une race de crieurs publics, uniquement formés de bouche et de poumons ; vous pouvez voir dans ces loges des échantillons de ces différentes espèces de prolétaires, auxquels nous avons donné le nom de métis industriels.
— Et l’on n’a pas apporté moins de soins à leur instruction, ajouta M. le Doux, qui se fatiguait d’écouter des expli-