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les derniers bretons.
» Il souffre mille injures, mais avec patience, car il avait confiance dans la Vierge bénite ; il avait son image et celle de la Passion, et il priait chaque jour devant elles !
» Un riche du pays, un homme du canton, entendit parler de sa misère et vint le voir, et lui dit : — Viens chez moi travailler. Et le pauvre malheureux répondit : — Hélas ! je n’ai point d’habits !
» Oh ! certes, je sais travailler la terre ; mais, hélas ! dit le pauvre, je n’ai ni pelle ni pioche ! Il me faudrait quatre écus pour m’équiper… j’irai sûrement chez vous pour vous les rendre !
» Le riche, sur sa parole, lui compte quatre écus, et lui dit : — Mon ami, ne manque pas à ce que tu as promis, et il lui dit : —