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les derniers bretons.

gue est ignorante ; oh ! ne parlons pas tous deux, parlez seul, jeune ami !


 

» Dès que je fus arrivé là, mon esprit se trouva changé ; toute ma dissouciance s’était endolorie ; toute ma dissouciance s’était tournée en douleur.

» — Oh ! je voudrais, mon Dieu, être descendu dans un trou de terre. »


Bientôt ces remords du cloarec prennent plus de force ; ce n’est point encore la voix de Dieu qui lui parle, mais celle de la raison qui lui dit de retourner à ses études, qu’il néglige pour l’amour d’une femme. Ici commencent les imitations classiques dont