Page:Souvestre - Les Derniers Bretons (tome 2), 1836.djvu/344

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
342
les derniers bretons.

peinte sur ma porte ; et c’était l’image de ma plus aimée. Elle pleurait, et ces mots étaient écrits autour de son visage : — C’est vous, Cloarec, qui faites couler mes pleurs !.



» Et le lendemain matin, l’image était à la même place, et sur son cœur étaient écrits ces mots déchirans : — Cloarec, mon amour croît avec votre cruauté !

» Et quand je revins, au milieu du jour, l’image était changée ; c’était toujours ma belle aimée ; mais elle était couverte d’un linceul, et elle avait à la main un poignard pour mourir. »


Enfin le jeune homme cède. Il laisse là