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les derniers bretons.
» Et j’entendis un oiseau qui chantait sur ma tête : Livre-toi à l’étude, cloarec, car ta bien-aimée est mariée !…
» Mais moi, furieux, je cherchais une arme pour tuer l’oiseau ; je cherchais une arme pour l’abattre du ciel.
» Périsse ainsi quiconque aurait le cœur de m’annoncer une telle désolation !
» — Cloarec, cloarec ! écoute ceci dans les chants d’un oiseau, si tu n’aimes mieux l’entendre de la bouche d’un messager.
» Et j’ai été obligé de l’entendre de la bouche d’un messager ; je l’ai entendu et j’ai respiré dans la douleur.