Page:Souza - La Poésie populaire et le Lyrisme sentimental, 1899.djvu/26

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croyons que des contemporains ne la peuvent, heureusement sans doute, discerner. Seulement nous connaissons des œuvres belles, et dont la beauté est d’autant plus personnelle et agissante qu’elle provoque la naissance d’une beauté contraire. Nous croyons ainsi que, lorsque en moins des six dernières années ont paru (pour ne citer que des œuvres vraiment neuves, indépendantes chacune, de forme et de fonds, d’une perfection, suivant les goûts, inégale peut-être, mais œuvrestypes) des poèmes comme Tel Qu’en Songe et L’homme Et La Sirène de M. Henri de Régnier, comme Les Campagnes Hallucinées et Les HeuRes Claires de M. Emile Verhaeren, comme La Clarté De Vie de M. Francis Vielé-Griffin, comme Le Livre D’images de M. Gustave Kahn, comme Entrevisions de M. Charles van Lerberghe, comme Les Quatre Saisons (dont on ne connaît, il est vrai, encore que d’importants