Le jeu des nationalités. — M. Dorchain-Pingard. — L’exotisme du Parnasse et de nos poétesses 111
L’influence étrangère dans la tradition française 103
Le sens poétiqueen France périodiquement détruit par le réalisme et l’abstraction. — Incompréhension du public, d’après Gautier. — Littérature française, européenne lorsqu’elle est la plus nationale 105
Différence de l’influenceétrangère chez les romantiques et chez les symbolistes : lespremiers imitent du plus près, les seconds s’inspirent de fort loin. Le mouvement symboliste est le moins étranger de toute notre littérature.
Notes 144
Extrait de l’Art des Vers par M. A. Dorchain. — Parallèle. — Citation de M. Albert Sorel 148
Les sources étrangères de notre poésie du moyen-âge, citation de Gaston Paris. — Littérature d’imitation. 149
Pour en finir : la vie, l’action sociale, la réaction, la science, etc., ou l’acte d’un mauvais clerc 106
M. Camille Mauclair et sa dernière pelletée de fossoyeur. — Ses services ? — Ses accusations.
Nous n’avons renié ni Wagner ni Ibsen : ils sont assimilés. — Dépouillé aucune hardiesse : œuvres quotidiennes.
Renaissance n’est pas réaction. — Renaissance classique contre le romantisme, contre l’académisme. — Les réactionnaires « humanistes » et « naturistes ». 109
Confusions sur le nationalisme 110
Les symbolistes et la vie pratique, économique, sociale, etc. 111
L’art surabondance de nature.
Notre préoccupation de la science et des questions sociales 113
Preuves. — Notre reconnaissance technique des autres arts. Preuves. — La science de M. Mauclair, ou de la littératurite 115
Maxime du Camp et les clichés de M. Mauclair.
Citation (d’après Gautier) du poète allemand Lenau : la poésie et la liberté 116
Notes 150