Page:Souza - Oeuvres completes T1et2.djvu/19

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. . . . A faint shadow of uncertaHilignt,
Stich as a lamp whose life doth fade away,
Doth leod to her. who walks in fear and sad affright,

Seule dans une terre étrangère avec un enfant qui a atteint, l’âge où il n’est plus permis de retarder l’éducation, j’ai éprouvé une sorte de douceur à penser que ses premières études seraient le fruit de mon travail.

Mon cher enfant ! si je succombe à la maladie qui me poursuit, qu’au moins mes amis excitent votre application, en vous rappelant qu’elle eût fait mon bonheur ! et ils peuvent vous l’attester, eux qui savent avec quelle tendresse je vous ai aimé ; eux qui si souvent ont détourné mes douleurs en me parlant de vous. Avec quelle ingénieuse bonté ils me faisaient raconter les petites joies de votre enfance, vos petits bons-mots, les premiers mouvemens de votre bon cœur ! Combien je leur répétais la même histoire, et avec quelle patience ils se prêtaient à m’écou-