Page:Souza - Oeuvres completes T1et2.djvu/20

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ter ! Souvent à la fin d’un de mes contes, je m’apercevais que je l’avais dit bien des fois : alors, ils se moquaient doucement de moi, de ma crédule confiance, de ma tendre affection, et me parlaient encore de vous !… Je les remercie… Je leur ai dû le plus grand plaisir qu’une mère puisse avoir.

A. de F…

Londres, 1793.