Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
CORNEILLE
Parfait. On aurait pu mettre là quelques fruits ;
N’importe, c’est très bien…
(Il aperçoit les fleurs de l’autre côté de la chambre)
D’où viennent-elles ?
GERTRUDE, timidement,
C’est… c’est moi qui vous les offre…
CORNEILLE, souriant d’abord, puis grave.
Ah… Ah… Merci Gertrude…
(Voyant qu’elle fait quelques pas vers la porte, à droite)
Où vas-tu ? Reste ici…
GERTRUDE
Je voudrais m’arranger…
CORNEILLE
Reste…
(Après une courte hésitation)
Vois-tu, que ce beau jour qui semble fait exprès