Page:Spaak - Kaatje, préf. Verhaeren, 1908.djvu/172

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JEAN (prêt à pleurer)

Ô mon bonheur ! Mon art ! Vous ai-je retrouvés ?
Ah ! petite, bonne petite !…

Il s’approche de Kaatje et pose, en pleurant de joie, son front sur l’épaule de la jeune fille. Et tandis que, de la main, elle lui caresse les cheveux, le père, puis la mère apparaissent au seuil de la porte de gauche et s’arrêtent surpris.
KAATJE (se tournant un peu vers les parents, leur dit doucement,
avec un sourire de bonheur)

Ah ! petite, bonne petite !… Il est sauvé !…



Ainsi se termine la pièce.