Aller au contenu

Page:Spaddy - Colette, ou les amusements de bon ton, 1937.djvu/133

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
110

— Si Monsieur veut accepter mes services ? dit derrière moi une voix charmante que je crus reconnaître.

Je me retournai : c’était la jolie Arlette que la curiosité avait fait entrer à pas de loup.

— Si j’accepte, mignonne ! me récriai-je en lui envoyant tout de suite la main aux cuisses.

— Tu permets, Tantine ? dit la charmante enfant qui déjà tirait de ma culotte un priape rubicond.

En quatre secondes elle m’eut ouvert ses jupes, rabattu sa petite culotte de soie milanaise et en posture de levrette épanoui son cul sur le coin du canapé, dans l’angle de la fenêtre. Un genou entre ses jambes, je l’accolai, le vit en avant, et en trois temps, j’enfilai son bijou avec l’impétuosité d’un ânon. Je la soulevai quasi de son siège tant je la pénétrai avec vigueur. Nous allâmes si vite en besogne que nous rattrapâmes, dans la jouissance, l’avance de Colette qui avait réglé son plaisir sur celui de son chérubin. Quand elle le vit mourir sous la bouche de sa petite suceuse, elle se leva toute frémissante, s’accouda au balcon et me tendant la saillie de sa croupe, elle m’appela :

— Ta queue ! ta queue ! chéri !…

Je venais à peine de déconner Arlette, mais j’étais encore d’attaque. J’approchai ma maîtresse, et le vit à la main, je poussai par-dessous ses fesses, jusqu’au fond du vagin qui béait en son