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Page:Sphinxiana, chez Blocquel et Castiaux.djvu/101

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L’aimable Iris
Pare la scène
Et dans la plaine
Près de Pâris,
L’aimable Hélène
Veille sans peine
Sur ses brebis.
Un air bien tendre
Se fait entendre,
C’est Colinet
Qui cherche à plaire
À sa Babet.
Bois solitaire,
Il t’a choisi
Pour peindre à l’aise
Son doux souci.
Sur son cœur pèse
Un grand tourment :
Pauvre innocent !
Las, il s’amuse,
Passe son temps
À souffler dans
Sa cornemuse.
Que voulez-vous ?
Pour être époux
De la gentille
Petite fille,
À sa famille,