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Page:Sphinxiana, chez Blocquel et Castiaux.djvu/76

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(130) CHARADE.

À certain jeu l’on roule mon premier :
On ne rend jamais mon dernier,
Sans être mon entier.


(131) ÉNIGME.

Je suis blanche, lecteur, et pourtant je
noircis :
Je suis légère et je m’appesantis :
Tel à qui je me rends utile,
Et dont je suis le gagne-pain,
Chaque jour me mutile,
Et je finis par mourir de sa main.


(132) CHARADE.

Mon premier mène à tout ;
Mon second prévoit tout ;
Et la vie est mon tout.


(133) CHARADE.

Si du premier, tu sens la douloureuse
atteinte,