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Page:Sphinxiana, chez Blocquel et Castiaux.djvu/77

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Tu ne peux être mon second ;
Du tout on verra l’empreinte,
Dans tes yeux et sur ton front.


(134) LOGOGRIPHE.

L’argent, sans mon entier, n’est d’aucune
valeur ;
Je suis, ma tête à bas, l’effroi du voyageur.


(135) CHARADE.

Dans les forêts, mon premier vit debout :
On entend mon second, on avale mon tout.


(136) LOGOGRIPHE.

Avec mon ventre, je désaltère,
Et sans mon ventre je t’éclaire.


(137) ÉNIGME.

Du mortel qu’en ces vers je trace,
Tâchez de deviner le nom :
C’est un vilain qui, de sa grâce,