la troisième partie. 4o Cette doctrine est utile encore grandement à la société commune en ce qu’elle enseigne la condition suivant laquelle les citoyens doivent être gouvernés et dirigés, et cela non pour qu’ils soient esclaves, mais pour qu’ils fassent librement ce qui est le meilleur. J’ai achevé par là ce que j’avais résolu d’indiquer dans ce Scolie, et je mets fin ici à cette deuxième partie, dans laquelle je crois avoir expliqué la nature de l’âme humaine et ses propriétés assez amplement et, autant que la difficulté de la matière le permet, assez clairement ; dans laquelle je crois aussi avoir donné un exposé duquel se peuvent tirer beaucoup de belles conclusions, utiles au plus haut point et nécessaires à connaître ainsi qu’il sera établi en partie dans ce qui va suivre.