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Page:Spoelberch de Lovenjoul - Autour de Honoré de Balzac, 1897.djvu/107

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son existence, cette lettre nous semble surtout curieuse par ses allusions au réveil des anciennes haines de la critique parisienne contre Balzac, et à leur déchaînement à l’occasion de la première représentation de Mercadet.

Quand madame Surville, après avoir d’abord fait paraître, en 1856, dans la Revue de Paris la vie de son frère, se décida, en 1858, à publier ce récit en volume, elle envoya un exemplaire du livre à Théophile Gautier, accompagné d’une lettre que nous allons aussi livrer pour la première fois à la publicité.

Nous avons retrouvé de plus, dans les papiers du poète, cette pensée de Balzac, écrite de la main de madame Surville. Elle est extraite de la scène première du premier acte des Ressources de Quinola :

« Et l’on parle du premier amour ! Je ne connais rien de terrible comme le dernier ; il est strangulatoire !

 » DE BALZAC. »