Page:Spoelberch de Lovenjoul - Autour de Honoré de Balzac, 1897.djvu/42

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« Depuis que je vous ai vu, je suis tombé malade. Mais j’ai aujourd’hui toute l’œuvre imprimée. Ne voulez-vous pas venir dîner aujourd’hui avec moi pour tout revoir ? Il y a deux ou trois endroits obscurs, où, en quelques minutes, nous mettrions de la lumière.

» Venez ; je suis pressé de faire corriger et tirer.

» Tout à vous,

 » ALCOFRIBAS. »

On voit donc que Balzac appelait parfois son ami à son aide pour ses travaux littéraires, et l’œuvre en question ne devait pas être bien longue, puisqu’il demandait seulement quelques minutes au bon Théo pour la mettre au point.

Or, Béatrix et le Grand Homme de province à Paris, datés de 1838, et publiés en 1839, ont paru bien après la deuxième édition du Chef-d’œuvre inconnu, quand déjà