Page:Spoelberch de Lovenjoul - Autour de Honoré de Balzac, 1897.djvu/45

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portent les citations. Du reste, sauf quelques lignes intercalées aux dernières pages, toutes les modifications ont été faites dans le premier chapitre. Enfin, la conclusion a reçu aussi quelques courtes adjonctions, ayant pour but de préciser davantage le dénouement. Mais ce dernier changement émane certainement de la plume de Balzac lui-même, et non de celle de son collaborateur supposé.

Nous avons conservé parfois quelques lignes du texte primitif, encadrant les ajoutés, lorsqu’il était utile de le faire pour la clarté du sens.

Voici d’abord la description de l’atelier de Porbus, qu’en 1831, dans l’œuvre primitive, Balzac avait adroitement évitée, en la remplaçant par les quelques lignes ironiques citées ici en note, et supprimées aujourd’hui[1] :

  1. « Ce serait chose assez importante, un détail artistement historique, que de dépeindre l’atelier de maître Porbus. Mais l’histoire nous prend tellement à la gorge,