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Page:Spoelberch de Lovenjoul - Les Lundis d’un chercheur, 1894, 2e éd.djvu/133

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126 LES LUNDIS D’UN CHERCHEUR. allusion à la suppression des deux pièces, Béléna et l’Ode au Malheur, que « plusieurs nouveaux poèmes en remplacent d’autres » jugés sévèrement par lui. Cette assertion, exacte dans celte édition et dans celle de 1837, est devenue fautive depuis celle de 1842, où l’Ode au Malheur— fut rétablie la préface, qui avait subi lors de la réimpression des Œuvres cornplètes, en 1837, les quelques changements qu’on y constate encore aujourd’hui, ne fut plus modifiée, et par suite garda le mot « autres au pluriel, tandis qu’en réalité il n’y eut plus d’autre suppression totale que celle d’Béléna. Nous donnons maintenant la préface écrite pour la deuxième édition de 1 829 elle est datée de juillet, et a disparu aussi dans toutes les réimpressions suivanles DEUXIÈME PRÉFACE DE 1829. « Ces poèmes viennent d’être réimprimés, et voilà qu’on les imprime encore peu de jours après. Lorsqu’ils parurent il y a neuf ans1, ils furent presque inaperçus du public. 1. Il y avait sept ans (1822), et non pas neuf ans.