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Page:Spoelberch de Lovenjoul - Les Lundis d’un chercheur, 1894, 2e éd.djvu/214

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LES ŒUVRES COMPLÈTES D’A. DE MUSSET. 207 M. Paul de Musset a lui-même-parlé dans une lettre insérée dans le Courrier de Paris du 25 juin 1857, lors de la publication d’une satire en vers sur l’Académie, attribuée aussi à son frère, mais dont l’origine était niée par lui dans cette lettre, n’a pas non plus trouvé place dans l’édition. Voici ces strophes’ Buloz est sur la grève P : lle et défiguré ; 11 voit passer en rêve Gerdès’tout effaré La matière abonnable Se meurt du choléra ; L’épreuve est détestable, Il faut un errata. Il voit son typographe Transposer ses placards. Des fautes d’orthographe Errent de toutes parts. Des lettres retournées Flottent en se heurtant ; Des lignes avinées Dansent en tremblotant. 1. Nous les reproduisons d’après l’Intermédiaire des cher- cheurs et des curieux du 10 octobre 1891 c’est la seule ver- sion publiée complète jusqu’ici. Note de 1893. 2. Caissier de la Bévue des Deux Mondes.