Page:Spoelberch de Lovenjoul - Les Lundis d’un chercheur, 1894, 2e éd.djvu/76

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PROJETS LITTÉRAIRES DE TH. GAUTIER. 69 venus), la partition de, piano de Struensée, afin de vous indiquer le sens des paroles alle- mandes qui doivent être déclamées sous la musique. Votre concierge me dit que vous ha- bitez la campagne, et que je ne puis pas es- pérer de vous trouver à Paris. Comme je ne possède pas un autre exemplaire de la parti- tion de piano de Struensée, j’ose donc vous prier d’avoir l’extrême bonté de m’envoyer le vôtre ; j’y ferai ce travail en vingt-quatre heures ; et je vous renverrai la partition pour que vous puissiez continuer votre travail poé- tique. » Veuillez agréer, Monsieur, l’expression des sentiments les plus distingués de votre très dévoué, » MEYERBEER. « Samedi écrit dans la loge de votre concierge. Le d2 octobre 1854, les choses n’étaient guère plus avancées, ainsi que le prouve cette lettre adressée par MM. Brandus et Cie à Meyerbeer « Monsieur, b Je m’empresse de vous confirmer ce que