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Page:Stenay - Portraiture d’une famille prussienne, 1888.djvu/64

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contre Louis XVII. La question, je ne la suppose pas, quoique le veuille M. Touchatout, puisqu’elle est bien résolue ci-dessus et ailleurs à la confusion des menteurs naündorffistes.

Eh ! eh ! monsieur le licencié, puisque vous êtes si fort en droit et en logique, demandez à vos supérieurs d’Orléans si, après l’arrêté de vos décisions, il n’y a pas lieu de « tirer l’échelle » et même de vous tirer les oreilles comme à un stupide gamin ? Cependant veuillez vous consoler avec cette pensée de Barbey-d’Aurevilly : « Quand les hommes supérieurs se trompent, ils sont supérieurs en cela comme en tout le reste : ils voient plus faux que les petits ou les médiocres esprits. »

Bien que ma plume tombe de dégoût devant des énormités capables de faire mourir de honte même un sot touche-à-tout s’il n’en vivait, je vais continuer ma tâche jusqu’au bout, afin d’édifier plus amplement les amis de la vérité sur le savoir-faire du premier coryphée naündorffiste.


X

Un faussaire pétri d’orgueil

J’ai dû parler – toujours dans la Victime royale – des enfants naturels de M. de Richemont, pour dévoiler un mensonge diabolique. Or, il plaît à l’articlier Touchatout de citer à ce sujet un passage tiré de ma petite étude sur la Vraie prophétie de