Page:Stendhal - De l’amour, I, 1927, éd. Martineau.djvu/157

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

résumé

L’erreur commune est d’en agir avec lesfemmes comme avec des espèces d’hommes plus généreux, plus mobiles, et surtout avec lesquels il n’y a pas de rivalité possible. L’on oublie trop facilement qu’il y a deux lois nouvelles et singulières qui tyrannisent ces êtres si mobiles, en concurrence avec tous les penchants ordinaires de la nature humaine, je veux dire :

L’orgueil féminin, et la pudeur, et les habitudes souvent indéchiffrables filles de la pudeur.