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Page:Stendhal - Lamiel, 1928, éd. Martineau.djvu/163

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Ceci lança Lamiel dans une suite de pensées sublimes qui l’éloignaient de plus en plus de l’idée pratique de s’aller promener au bois et de choisir le jeune homme auquel elle demanderait ce que c’est que l’amour.