Page:Stendhal - Les écrits érotiques de Stendhal, 1928.djvu/55

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J’entends dans l’escalier et monter et courir,
Nous voyons apparaître un sbire et sa cohue :
« Messieurs, je viens, dit-il, du fin fond de la rue,
« Appelé par le bruit et l’infâme bouzin…
« — Qu’appelles-tu bouzin, ruffian de cisalpin ?
« Quitte ton uniforme et, regagnant la place,
« Reprends ton naturel, va rejoindre ta race,
« Sois cisalpin, ou bien je te coupe le vit. »
À ces mots, l’animal, de peur déjà contrit,
Dégringole la rampe…