deviennent fades pour moi, comme je l’ai déjà observé. Je ne puis plus recueillir de ridicule sur eux.
Mais aux stoïciens je donne l’avantage,
Et je ne trouve rien de si beau que leur sage.
Bilieuse.
A le mérite de peindre à la fois l’orgueil et le vide de puissance des pédants, et combien il est heureux qu’ils n’aient pas de puissance.
Par nos lois, prose et vers, tout nous sera soumis :
Nul n’aura de l’esprit, hors nous et nos amis.
Vers excellent mais qui avait besoin d’être amené. Ici les personnages sont assez passionnés pour le dire. Sans cela il serait du ton du pamphlet, où les personnages disent d’eux-mêmes le mal qu’on en pense. C’est pour n’avoir pas fait cette distinction que Voltaire est si médiocre dans la comédie. Mais aussi quel pamphlet