Le mari d’une jeune femme qui est
adorée par son amant qu’elle traite mal
et auquel elle permet à peine de lui
baiser la main, n’a tout au plus que le
plaisir physique le plus grossier, là où
le premier trouverait les délices et les
transports du bonheur le plus vif qui
existe sur cette terre.
Le premier amour d’un jeune homme
qui entre dans le monde est ordinairement
un amour ambitieux… C’est au
déclin de la vie qu’on en revient tristement
à aimer le simple et l’innocent,
désespérant du sublime. Entre les deux
se place l’amour véritable qui ne pense
à rien qu’à soi-même.
En amour, quand on divise de l’argent,
on augmente l’amour ; quand on en
donne, on tue l’amour.
Les femmes françaises n’ayant jamais vu le bonheur des passions vraies sont