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introduction

reste, se termine par ces mots, qui ont été rayés : « Ma pauvre mère dessinait fort... », et d'autre part l'ancien feuillet 256 continuait ainsi : « ... bien, disait-on dans la famille. » Puis, Stendhal s'est ravisé, il a songé à placer le chapitre xv après le chapitre xvi : la dernière page de celui-ci est la deux cent quarante-huitième du manuscrit, et notre chapitre xv porte une nouvelle numérotation 249 à 260. Enfin, l'auteur s'est rendu compte que ce passage ne pouvait convenir ni à l'une, ni à l'autre place, et il a pris le parti de le placer ailleurs, « afler the death of poor Lambert », après le récit de la mort du domestique Lambert, et d'en faire un chapitre spécial.

Même difficulté pour le chapitre de « la première communion », le dix-huitième de la présente édition. Stendhal l'avait d'abord incorporé au chapitre x, « le maître Durand » : les deux passages, en effet, portent la même date, 10 décembre 1835, et l'un devait suivre l'autre, puisque les deux premiers feuillets du chapitre xviii ont été chiffrés 168 et 169 ; puis un regret est venu, Beyle a continué son chapitre sans numéroter les pages et, incertain de la place définitive, il a inscrit dans son manuscrit deux mentions contradictoires ; en tête du chapitre, on lit : « A placer après Amar et Merlinot », et d'autre part, à la fin du chapitre xvii, après le feuillet 259, une note indique : « First communion, à 260. » C'est la place que j'ai choisie, et c'est bien

Brulard I.
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