Page:Stendhal - Vie de Napoléon.djvu/260

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

tions. Soyez sûr que la crainte de perdre leurs meubles d’acajou leur fera toujours faire toutes les lâchetés qui leur seront proposées. Ce n’est pas leur faute ; une excessive petitesse a entièrement étiolé leurs âmes pour tout ce qui n’est pas affaire personnelle. La capitale de la France doit être une ville de guerre, placée derrière la Loire, près de Saumur. »